J'ai choppé dernièrement le virus bouquiniste, alors c'est bien simple, si je sors en grande surface ou en ville IL FAUT ABSOLUMENT que j'achète un poche (euh oui j'avoue suis pôovre mais bon 15-20 euros pour un livre aussi beau soit il, je trouve ça chéros et puis avouez qu'il y a de quoi faire avec l'impressionnante collection des "Pochés" !).
Et puis d'abord je fume pas, je bois pas, je deale pas...je jesuis une sainte me fait plaisir tout simplement !
J'avoue avoir un faible pour les auteurs un peu polémiques, contestataires mais d'autres plus traditionnels savent aussi me courtiser...D'ailleurs c'est un peu comme en amour, l'apparat peut parfois être trompeur et illusoire ! La lecture est une passion ultra subjective, il faut trouver Son auteur, Son type de littérature...Le livre doit vous parler d'emblée, être le double caché de votre âme...sinon laissez tomber !
L'éducation nationale, avec ses programmes et références barbantes en la matière, a malheureusement dégouté bon nombre de jeunots.
Bon en fait je voulais partager avec vous quelques extraits de :
Et puis d'abord je fume pas, je bois pas, je deale pas...je je
J'avoue avoir un faible pour les auteurs un peu polémiques, contestataires mais d'autres plus traditionnels savent aussi me courtiser...D'ailleurs c'est un peu comme en amour, l'apparat peut parfois être trompeur et illusoire ! La lecture est une passion ultra subjective, il faut trouver Son auteur, Son type de littérature...Le livre doit vous parler d'emblée, être le double caché de votre âme...sinon laissez tomber !
L'éducation nationale, avec ses programmes et références barbantes en la matière, a malheureusement dégouté bon nombre de jeunots.
Les arènes sanglantes sont notre drogue."
(Abrupt de prime abord mais à bien considérer la question n'est ce pas véridique ?)
"Je veux parler à l'Homo sapiens sevré (fût-ce un moment) de la drogue publicité; déconditionné (au moins une journée) de la dictature du marketing. A celui qui s'esclaffe sans rires préenregistrés et pleure sans télé-réalité; qui parle pour ne rien dire et raconte des idioties; qui se met en colère et joue les imbéciles; qui obéit à ses désirs, se laisse porter par l'amour et s'envole sur les ailes de son délire.
Sans rien avoir acheté !
Cet homo sapiens-là me plaît. Il est imprévisible, mais je lui fais confiance."
(Abrupt de prime abord mais à bien considérer la question n'est ce pas véridique ?)
"Je veux parler à l'Homo sapiens sevré (fût-ce un moment) de la drogue publicité; déconditionné (au moins une journée) de la dictature du marketing. A celui qui s'esclaffe sans rires préenregistrés et pleure sans télé-réalité; qui parle pour ne rien dire et raconte des idioties; qui se met en colère et joue les imbéciles; qui obéit à ses désirs, se laisse porter par l'amour et s'envole sur les ailes de son délire.
Sans rien avoir acheté !
Cet homo sapiens-là me plaît. Il est imprévisible, mais je lui fais confiance."
"Je hais le fanatisme, le racisme et la guerre. Je déteste la mobilisation générale, la charge héroique et l'arc de triomphe, cette tumeur dont le symétrique est la fosse commune. Je voudrais ne donner à nos rues que des noms de défaites, de poètes ou de vagabonds. Ah ! Déambuler sur le boulevard de la Grande-Raclée; remonter l'avenue du Doux-Rêveur; et boire un café de commerce équitable sur la place du Citoyen-du-Monde !"